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Les notes de lectures recherchées |
4 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Notation moyenne de ce livre : (3 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)
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[Complainte des landes perdues : Sioban | Rosinski, Dufaux] |
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Auteur |
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Message |
kabuto
Sexe: Inscrit le: 02 Sep 2006 Messages: 611 Localisation: Craponne
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Posté: Lun 11 Jan 2010 0:13
Sujet du message: [Complainte des landes perdues : Sioban | Rosinski, Dufaux]
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Commentaires : 0 >> |
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Ce premier tome nous plonge dans un monde de magie et de complot. La jeune Sioban devra sauver le royaume du tyran. Rien de bien nouveau donc ! Je trouve les dessins assez inégaux. Certaines planches sont superbes quand d'autres sont beaucoup moins réussies. Distrayant tout de même.
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[Complainte des landes perdues. T. 4, Kyle of Klanach | ...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Mer 15 Juil 2009 13:28
Sujet du message: [Complainte des landes perdues. T. 4, Kyle of Klanach | ...]
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Commentaires : 0 >> |
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Dans le 4e tome de la Complainte des landes perdues, l’amour est mis à mal. Sioban, envoûtée par le philtre maudit, fait les yeux de biche au prince Gerfaut, lui-même pauvre diable dont l’avant-bras ganté est un pied de bouc. Le prince dépravé que sa mère fouette à sang finira par déflorer Sioban, prise entre l’amour, la pitié et le mal. La perte de virginité de la princesse entraîne instantanément l’apparition des Schlimrocks, rats aux yeux rouges, dévoreurs des mots sacrés, rongeant les grimoires et le « langage des grands anciens ». Le pouvoir est perdu. Le mal triomphe. Tous les clans portent allégeance au prince Gerfaut hormis Kyle of Klanach, seul contre tous. Prisonnier, il est mis à la torture. Seamus, le guerrier du pardon, intervient arme au poing mais les cadavres s’accumulent dont celui de Sioban. Tout est-il irrémédiablement perdu ? Les Oukis ont-ils tous été dévorés par le prince Gerfaut ?
Jean Dufaux joue avec les codes du genre et remet habilement sur les rails une histoire mille fois contée, celle de la princesse dupée, du beau ténébreux éconduit, du chemin plein d’embûches que le preux chevalier doit parcourir pour atteindre son graal. Rosinski s’essouffle un peu plus dans cette quatrième livraison. Son dessin est moins soigné, parfois bâclé mais ses grandes qualités demeurent à savoir une mise en page très lisible, un cadrage conventionnel qui n’exclut jamais la puissance évocatrice de certaines images par une contre-plongée habile et signifiante, par exemple. Le lecteur ne s’ennuie pas mais l’histoire manque toutefois d’originalité et de puissance.
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