La question cruciale est : l'auteure plagie-t-elle Pénélope Bagieu de façon éhontée ? ou est-ce l'inverse ? ou les deux s'inspirent-elles de la même source ? Et encore : un filon est-il en train de se former de cette matière première banale et vaguement exhibitionniste du quotidien de jeunes parisiennes pseudo-ineptes ? Répond-il à notre part de voyeurisme et de goût de l'impudique...?
Sinon, que dire d'autre de cette bédé ? Qu'elle contient suffisamment d'érotisme et de vulgarité pour garantir un gros rire sain et "relou"...