On se surprend à lire ce témoignage comme un roman d'aventures et il faut un peu de recul pour se rappeler que cet étalage de violence correspond à la réalité de la vie de l'ennemi public numéro 1 des années 70.
Malgré les activités fortement répréhensibles de l'individu, on ne peut pas ignorer les remarques dénonçant les procédures judiciaires mais aussi le système carcéral qui tend à créer les démons qu'il voudrait empêcher de nuire.

je ne connaissais pas Mesrine, chose faite.Violent très violent, certains passages sont atroces. D autres laissent perplexes ...