6 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : amour, calabre, campagne, enfance, famille, italie, la campagne, la vieillesse, la ville, maladie, milan
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[Le sourire étrusque | José-Luis Sampedro] |
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Auteur |
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Message |
Astazie
Sexe: Inscrit le: 14 Avr 2009 Messages: 391 Localisation: Normandie
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Posté: Sam 12 Déc 2009 15:29
Sujet du message: [Le sourire étrusque | José-Luis Sampedro]
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Commentaires : 0 >> |
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Salvatore Roncone, vieux paysan calabrais attaché à sa terre et à ses traditions, doit se rendre à l'évidence. Pour combattre sa maladie ,il doit se rendre en convalescence chez son fils à Milan. Milan que le Calabrais déteste, Milan et sa fureur, sa solitude, sa laideur aussi et sa vie sans goût ni odeurs.
Cette ville hostile et son ciel gris. Milan et son fils, qu'il croit ne plus connaître et sa belle-fille qui ne vient pas du même monde. Milan ou l'enfer.Milan ,qui va lui offrir son plus beau cadeau - un amour franc et total, plus fort que tout - en la personne de son petit-fils Bruno qu'il ne connaît pas mais qui porte le nom que ses camarades partisans lui avaient donné au temps du maquis.
Dans ce roman plein de tendresse, d’humour et d’émotion, l’approche de la mort, la vieillesse, offrent encore de formidables moments de bonheur et d’apprentissage, qui mènent à la plénitude et à la sérénité si bien représentées par le fameux sourire étrusque.
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[Le sourire étrusque | José-Luis Sampedro] |
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Auteur |
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Message |
kalistina
Sexe: Inscrit le: 29 Avr 2006 Messages: 620 Localisation: marseille
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Posté: Lun 02 Avr 2007 12:34
Sujet du message: [Le sourire étrusque | José-Luis Sampedro]
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Commentaires : 5 >> |
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Salvatore est un vieux rustre macho, mais pourtant il est touchant. Pour la première fois de sa vie, il se laisse aller à la tendresse, à vouloir protéger quelqu’un… celui qui réussit à le faire tant changer, c’est son petit-fils, un petit bonhomme de treize mois.
Les personnages sont caricaturaux ; Salvatore, c’est le vieil italien sexiste, pétri d’un certain code de l’honneur, avec ses valeurs genre « dures mais vraies », si vous voyez… Sa belle-fille Andrea, c’est la jeune femme citadine, la business woman rongée d’ambition qui ne supporte évidemment pas son beau-père. Enfin bref, tous les personnages sont un peu excessifs.
En plus, il y a plein de bons sentiments, avec des gens qui s’aiment mais qui ne savent pas comment se le montrer, un homme qui reste fort face à la maladie, tout ça tout ça.
Je ne sais pas si ça se devine au vu de ce que je viens d’écrire, mais j’ai adoré :-D J’ai marché à fond dans le jeu de l’auteur, je me suis attachée à certains personnages, j’en ai cordialement détesté certains autres… Je l’ai dévoré jusqu’à la dernière page.
Ces deux bouquins n’ont rien à voir, mais, à certains moments de la lecture de celui-ci, j’ai pensé à « pour qui sonne le glas » d’Hemingway. J’ai de drôles d’associations d’idées, parfois.
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