Un "docu-fiction" sur le Génocide arménien : l'émotion est extrèmement forte, c'est sûr, d'autant que l'auteur s'efforce d'appuyer l'histoire par des documents. Est-ce que le but est de convaincre ou de simplement raconter ? En tout cas, de la même manière que le
Auschwitz de Pascal Croci on est amené à découvrir des scènes effroyables d'inhumanité. Au contraire d'autres scènes pleines d'amitié et de joie de vivre sont porteuses d'espoir.
Comme Parsifal (
voir sa note), on peut noter le travail graphique remarquable, qui est plus retenu que le
Auschwitz de Pascal Croci