6 livres correspondent à cette oeuvre.
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Mots-clés associés à cette oeuvre : afrique, afrique du sud, afrique du sud - apartheid, amitie, amour, apartheid, brink, etranger, meurtre, mort, poesie, politique, prison, racisme, roman, segregation raciale, social, souvenir, theatre, torture, violence
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[Au plus noir de la nuit | André Brink] |
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Auteur |
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Message |
thaliesen
Sexe: Inscrit le: 24 Mar 2007 Messages: 130 Localisation: Clermont-Ferrand
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Posté: Jeu 27 Nov 2008 17:50
Sujet du message: [Au plus noir de la nuit | André Brink]
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Une lecture d'une qualité rare, unique même. Il y a quelque chose de particulier, un esprit propre à la littérature d'afrique du sud, pays qui à trop longtemps souffert de l'apartheid. Ce racisme institué à modifié profondément l'âme et les corps de ceux qui y ont vécu. Une fois de plus, un livre de Brinks qui plus que de me plaire, me fais voir un autre aspect de la vie dans ce monde vaste et multiforme. Où l'horreur et la mort peut-être une valeur des Etats, alors que l'art, l'affection, l'âme combattante et le coeur sont baffoués. Alors qu'ils restent et resteront toujours les seules valeurs qui sont cruciales et vitales, pour nous, les Hommes...
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[Au plus noir de la nuit | André Brink] |
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Auteur |
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Message |
vanillabricot
Sexe: Inscrit le: 11 Sep 2008 Messages: 32 Localisation: Ankara
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Posté: Mar 30 Sep 2008 13:16
Sujet du message: [Au plus noir de la nuit | André Brink]
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Commentaires : 0 >> |
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Avec ce livre je découvre l'Afrique du Sud et sa littérature.Je découvre André Brinks. Ecrivain blanc, sud-africain, censuré dans son pays quasi-automatiquement pour son combat permanent contre l'apartheid.J'ai aimé ce livre. J'ai aimé les 2 histoires en parrallèle: celle de la famille de Malan, histoire tragique génération après génération, et celle de cette histoire d'amour interdite.On vit aujourd'hui, en France, dans un environnement où la question de la couleur de peau est secondaire. Le racisme existe toujours. Mais pour beaucoup de personnes, pour beaucoup de jeunes, en tout cas pour beaucoup de gens autour de moi, elle n'est plus un critère en soi dans la vie sociale.On se fréquente, on oublie même qu'on a cette différence.Et là j'ai enchainé plusieurs livres où cette différence est centrale parfois tragique.C'est comme revenir en arrière. Quand maman nous demandait en parlant de nos camarades de classes s'ils étaient, malgaches, indiens, français, blancs, marrons, noirs.... et qu'on en savait rien!
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[Au plus noir de la nuit | André Brink] |
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