Quatre magnifiques nouvelles (des essais, en réalité) qui sont autant de réflexions philosophiques éclairant la fin si déroutante, parfois, de "L’Étranger". La "merveilleuse indifférence" du monde et notre perception sensuelle de ce monde, ce renoncement non-stoïcien à son indifférence, le nietzschéisme sous-jacent de son approche... c'est fort, très fort. Et très beau, en plus. Amoureux de l'été, c'est pour vous.