67 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 24 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : 2005, 2006, actes sud, complot, crime, difference, disparition, economie, enquete, enquete policiere, entreprise, espionnage, europe, feminisme, femme, hacker, harcelement, informatique, journalisme, journaliste, justice, meurtre, millenium, morale, mystere, piratage, polar, police secrete, policier; suede; amour, prostitution, psychopathe, roman, secret d'etat, serial killer, services secrets, sexe, sexisme, suede, survie, suspense, thriller, tome 2, traffic de femmes, trafic, vengeance, victimes, viol, violence, violences aux femmes, violent
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Message |
chlorine
Sexe:  Inscrit le: 30 Sep 2006 Messages: 620 Localisation: Paris
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Posté: Dim 15 Fév 2009 16:52
Sujet du message: [La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une al...]
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J'avais bien aimé le premier tome de Millenium, malgré le côté science-fictionnesque du piratage informatique.
Dans ce deuxième tome, il y a également un suspense savamment entretenu, mais il m'a semblé entretenu de façon artificielle : l'intrigue suit tour à tour les différents protagonistes de l'histoire, et une bonne partie du suspense tient à ce que l'auteur arrête d'un coup de suivre certains protagonistes, et du coup on ne sait pas ce qui leur est arrivé, d'où, suspense... et on aura la réponse au moment où l'auteur daignera suivre à nouveau le personnage impliqué. Du coup j'ai eu un peu l'impression qu'on se foutait de moi.
Après avoir vu beaucoup de commentaires peu élogieux sur le troisième tome, je pense que je m'abstiendrai de le lire, même si, je l'avoue, ça me chagrine de ne pas savoir quel est ce "tout le mal" de Lisbeth.
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Message |
C-Maupin
Sexe:  Inscrit le: 06 Mai 2006 Messages: 1917
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Posté: Dim 21 Déc 2008 8:12
Sujet du message: [La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une al...]
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J'ai, moi aussi, préféré ce livre au premier.
Il y a plus d'unité et j'ai trouvé l'enquête très bien construite, même si on a parfois l'impression que l'auteur tire à la ligne et qu'il aurait fait une œuvre plus percutante encore en 400 pages (que c'est long à démarrer !)
Il faut reconnaître que le suspense en est extrêmement prenant, ce qui reste le critère majeur de qualité d'un livre de cette catégorie.
Mais les personnages, aussi attachants soient-ils (pour certains du moins), sont trop manichéens à mon goût. Mon impression est qu'il y a les "bons", qui sont parfaits et dans le clan de Lisbeth (ou qui y viennent) et les "méchants", vraiment démoniaques et ennemis de Lisbeth. C'est un peu simpliste, mais comme on n'attend guère plus qu'un moment de divertissement de ce genre de littérature, on peut considérer que c'est une réussite.
PS Les thèmes croisés de trafic de femmes, de torche humaine, de bidon d'essence et de Suède m'ont évoqué irrésistiblement un livre de Mankell, je ne m'en rappelle plus le titre.
Commentaires de Gérard :
je suis du même avis !
Le livre évoqué de Mankell est : "la lionne blanche".
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Auteur |
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Message |
elisala
Sexe:  Inscrit le: 09 Mar 2006 Messages: 786 Localisation: Paris, idf
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Posté: Mer 12 Nov 2008 15:25
Sujet du message: [La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une al...]
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Phénomène étrange: j'avais trop entendu du bien du premier tome, et je crois que ça a beaucoup influencé mon avis lorsque je l'ai lu (en gros j'étais déçue).
Par contre, ce deuxième tome m'a bien plu. serait-ce parce que suite au premier décevant j'en attendais beaucoup moins et n'avait donc pas de raison d'être déçue?
Assez avec les noeuds aux neurones, le fait est que ce deuxième tome est plus péchu, traîne moins en longueur, et va moins dans les détails inutiles du premier tome.
Est-ce bien raisonnable de préférer un livre dans lequel les héros s'en prennent plein la gueule? tant pis, j'assume, ce deuxième tome m'a bien plus amusée que le premier.
Par ailleurs, je trouve que le titre du premier tome (les hommes qui n'aimaient pas les femmes) conviendrait très bien à ce deuxième tome, même si son titre est très bien aussi...
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Message |
Septentria
Sexe:  Inscrit le: 17 Avr 2006 Messages: 910 Localisation: Ste Foy-Les-Lyon (69)
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Posté: Dim 13 Jan 2008 16:08
Sujet du message: [La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une al...]
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Voici la suite des aventures du journaliste Mikael Blomkvist, embarqué cette fois-ci dans un combat contre le trafic de femmes et la prostitution. Mais deux des enquêteurs du journal "Millenium" sont sauvagement abattus et surprise, c'est l'ancienne partenaire de Mikael, Lisbeth Salander, qu'on accuse. Commence alors une chasse à l'homme (à la femme, plutôt) menée parallèlement par la police et par l'équipe de Millénium, persuadée de l'innocence de Lisbeth...
Ça commence en douceur, mais rapidement, je me suis trouvée happée par cette histoire, de la même manière que pour le volume précédent... Pas moyen de lâcher ce livre avant d'avoir tourné la dernière page, qui me laisse d'ailleurs en état de manque... L'ambiance de ce livre est différente de l'autre mais le récit est toujours habilement construit de façon à entretenir le suspense. J'attends avec impatience la lettre de la bibliothèque qui m'annoncera la disponibilité du tome 3... ;-)
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[Millénium. T.2, La fille qui rêvait d'un bidon d'esse...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe:  Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Jeu 13 Déc 2007 11:26
Sujet du message: [Millénium. T.2, La fille qui rêvait d'un bidon d'esse...]
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« C’est d’la balle ! » disent les djeunes quand ça fulgure au poing, ça fracasse, ça arrache. De la balle, il en est question dans le tome 2 de la trilogie Millénium, La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette. Dag Svensson, journaliste et son amie Mia Bergman, criminologue sont assassinées avec un Colt 45 Magnum. Ils présentent des blessures mortelles « effroyables » causées par des balles expansives. « Il y a une énorme différence entre les dégâts que peut causer une balle de 9 millimètres de diamètre et ceux d’une balle qui s’étale jusqu’à mesurer 2 voire 3 centimètres de diamètre… L’intention est de causer une hémorragie massive, ce qui est considéré comme charitable lors de la chasse à l’élan puisqu’il s’agit d’abattre une bête aussi vite que possible sans qu’elle souffre. En revanche, les conventions internationales interdisent les munitions de chasse dans les guerres puisque le malheureux qui est touché par une balle expansive décède presque à tout coup et peu importe à quel endroit du corps l’impact a eu lieu. » Quand ce genre de propos m’explose dans la tête, les bras m’en tombent. Ainsi, on peut moraliser la guerre. On se tue mais pas trop. Pour les bêtes, c’est différent. Il ne faut pas qu’elle souffre. Je suppose que l’impact est indolore et que l’hémorragie chatouille. C’était ce genre de réflexion qui courait chez les humanistes au XIVe siècle quand la bombarde a été introduite durant la guerre de Cent Ans. Humaniser la guerre, quelle foutaise ! Bien qu’il ne faille pas se braquer face à ces propos assassins, la lecture de Millénium parabellum commence à sentir le roussi, avec un petit arrière-goût âcre. J’aurais préféré que Larsson modère ses effets puis prenne des pincettes et des guillemets avant d’étaler doctement sa science des armes. Cette amère réflexion faite, il faut reconnaître du rythme à l’histoire et un redoutable savoir-faire chez l’écrivain pour mener avec brio une histoire conventionnelle autour de la prostitution des femmes de l’Est en Suède. A nouveau, Stieg Larsson enchâsse ses récits autour de la traque orchestrée après Lisbeth Salander. Son passé refait surface. Avec lui, une pléiade d’affreux scintille à nouveau dans le firmament d’une aura maléfique. Qui est Zala (Alexander Zalachenko) ? Quel est le rôle joué par le tuteur de Lisbeth, maître Bjurman ? Quelle est la place du géant blondinet insensible à la douleur et nanti d’une voix fluette ? Comment Mikael Blomkvist va-t-il faire pour renouer avec Lisbeth Salander ? Le peut-il, seulement ? Qu’est-ce que « Tout Le Mal », majuscule aux maux, à prendre au pied de la lettre ? D’autres histoires se trament en sous-main. Les seconds rôles sont bien tenus : l’inspecteur Bublanski dit Bubulle (« …il était facile de comprendre pourquoi ses collègues l’avaient baptisé Bubulle. Son visage [en colère] avait pris l’aspect d’une énorme bulle de chewing-gum rose »), le pédopsychiatre pervers Peter Teleborian, l’amie de Lisbeth, Miriam Wu composent quelques uns des personnages qui, bien que caricaturaux ont tous une vie propre et une trajectoire bien dessinées. Des moments de bravoure parcourent l’histoire. Ainsi, quand l’ancien champion de boxe Paolo Roberto affronte, dans un combat à mort, le géant blond : « Puis vint… le sentiment de ne pas suffire… La certitude… je suis en train de perdre. C’est l’instant décisif qui distingue le vainqueur du perdant. Peu de boxeurs affrontant cet abîme ont assez de force pour retourner le match et transformer une défaite assurée en victoire. » On se croit souvent dans un film de James Bond revu et dopé par Quentin Tarentino mais le style journalistique et la précision froide du compte-rendu des événements donnent du liant à l’histoire. Les personnages deviennent pathétiques et jouent en vain leur vie dans une tragédie qui les dépasse.
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