8 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Notation moyenne de ce livre : (4 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)
Mots-clés associés à cette oeuvre : afrique du nord, agonie, amoralisme, amour, chaleur, classique, culpabilite, dionysisme, hedonisme, homosexualite, italie, litterature francaise, maladie, mariage, moralisme, pederastie, philosophie, roman, sensualite
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Swann
Sexe: Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 2643
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Posté: Ven 11 Déc 2015 19:41
Sujet du message:
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Très vite lu, de l'ennui après la première moitié.
Cf. note de lecture sur mon blog.
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[L'immoraliste | André Gide] |
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Laudateur
Sexe: Inscrit le: 29 Fév 2008 Messages: 1599 Localisation: Quimper
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Posté: Mar 06 Mai 2008 19:58
Sujet du message: [L'immoraliste | André Gide]
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Une belle histoire, de quelqu'un qui remet en question sa vie entière, et qui ose s'en prendre aux fondements qui l'empêchent d'avancer.
Sauf que comme le titre le dit, l'immoralisme affiché - qui n'annule pas la poésie dont le livre est empreint - me coince un peu. Ben oui, je suis coincé. ;-)
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[L'immoraliste | André Gide] |
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Auteur |
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kalistina
Sexe: Inscrit le: 29 Avr 2006 Messages: 620 Localisation: marseille
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Posté: Lun 09 Juil 2007 21:23
Sujet du message: [L'immoraliste | André Gide]
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(4e de couv plus bas)
Il faut, paraît-il, savoir capter le second niveau de lecture de ce livre et voir les questions philosophiques au-delà de la simple histoire. Je n’ai pas voulu ou pas su le faire.
Il y a du Nietzsche là-dedans, du questionnement sur le dépassement de soi, etc. Il y a aussi des éléments autobiographiques plus ou moins cachés.
Tout ce que j’y ai vu, moi, c’est une écriture vraiment très belle, mais une histoire barbante comme les pierres. Ca ne m’a pas intéressée, Michel me tapait sur le système avec sa faiblardise (je sais, ça n’existe pas) et son égocentrisme. Du coup, au bout de 80 pages, j'ai fini par abandonner.
1 étoile et demi pour le style qui reste brillant.
4e de couv :
Michel, historien, épouse Marceline, après la mort de son père, pour satisfaire à sa dernière volonté. Lors d'un voyage qui conduit le jeune couple en Tunisie, Michel commence à souffrir de tuberculose, et une crise particulièrement violente le laisse entre la vie et la mort.
A partir de ce moment là, Michel, qui avait négligé son corps en faveur de l'étude, va entamer une métamorphose progressive, qui commencera par une négation de l'esprit au profit du corps, de ce corps qu'il se force à nourrir et à exercer pour le sortir de la maladie, métamorphose qui se poursuivra par une remise en question de tout ce qui lui a été inculqué dans sa jeunesse: l'austérité protestante de sa mère, le goût pour un passé qu'il trouve à présent figé et sans intérêt, et plus généralement, la morale et la culture, une culture qui pour lui étouffe l'instinct primitif de vie.
Car c'est la vie que Michel veut voir triompher, cette vie qu'il manque de perdre, et peu à peu sa transformation fait de lui un immoraliste, un homme qui ne vit que pour satisfaire ses pulsions immédiates, au détriment du reste, et surtout de sa femme Marceline qui en paiera de l'ultime prix. Tel un vampire, Michel semble se repaître de la jeunesse et de la santé de ses proches, tandis que la maladie, la vieillesse et la laideur lui répugnent.
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