Lu il y a vingt ans environ et jamais terminé, par manque de temps. Voilà qui est fait.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, je préfère Aristote qui, sans faire d'approximations, laisse de la place à la nuance, là où Platon préfère s'élever radicalement. Pardon aux philosophes chevronnés parmi vous, mais je ne suis qu'une béotienne et j'ignore si c'est ainsi qu'on différencie correctement ces grands maîtres. C'est un simple ressenti.
Mon livre préféré est celui où il analyse ce qu'il doit en être de l'amitié. Tout en étant un vrai traité d'éthique pas du tout divertissant, il ne dédaigne pas les petites allusions aux proverbes, aux oeuvres, ce qui nous rapproche des Grecs anciens.