|
|
Les notes de lectures recherchées |
6 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
|
[Days | Lovegrove James] |
|
|
Auteur |
|
Message |
onaris
Inscrit le: 28 Fév 2009 Messages: 1459 Localisation: Occitanie
|
|
Posté: Sam 05 Oct 2024 6:27
Sujet du message: [Days | Lovegrove James]
|
Commentaires : 0 >> |
|
Days : le premier gigastore au monde, en banlieue londonienne, d'une superficie de 20 km2, sur sept étages. Pour y accéder, un seul moyen : demander une carte de magasin et justifier de ressources suffisantes pour obtenir a minima la carte "aluminium".
Le livre raconte une journée de la vie de ce magasin, des clients et de ceux qui ne peuvent y entrer, des employés et des sept fils du fondateur.
L'atmosphère, au début, est aussi lourde et grise que dans "1984".
Heureusement, il y a des clichés, tellement caricaturaux, qui apportent une touche d'humour tel que celui de l'épouse qui tient absolument à se ruer vers la vente flash au rayon "Instruments Musicaux du Tiers Monde" et son époux, les pieds ancrés au sol et l'œil rivé sur le budget familial qui tente de la retenir en agrippant l'anse de son sac à main. Je ne précise pas qui va céder en premier.
A noter aussi la notion de "Fantômes", ces agents de sécurité qui, en complément des vigiles et des caméras omniprésentes de surveillance, se glissent anonymement au milieu de la foule des clients à l'affût des voleurs à l'étalage.
|
|
|
|
|
|
|
[Days | James Lovegrove] |
|
|
Auteur |
|
Message |
Cyberugo
Sexe: Inscrit le: 20 Oct 2007 Messages: 164 Localisation: Besançon
|
|
Posté: Mer 21 Juil 2010 16:26
Sujet du message: [Days | James Lovegrove]
|
Commentaires : 0 >> |
|
La quatrième de couverture est alléchante ! Un gigantesque centre commercial pour cadre spatial, une journée pour cadre temporel, une société centrée sur la consommation, avezc une hiérarchisation de celle-ci selon la classe de carte de crédit que possède chaque individu.
La critique du modèle consumériste dans un cadre de science-fiction est alléchante, mais cela va en rester là. En effet, l'ensemble reste très descritpif, très lent, trop lent. Quelques idées jaillissent de ci et de là, mais la sauce ne prend pas, sans doute par manque d'ine intrigue digne de ce nom, l'explosion partielle du système venant à la fin limitant paradoxalement les dégâts.
Une petite décpetion, car le potentiel était là. Une réduction de poids de cent ou deux-cents pages rendrait le tout beaucoup plus saillant. Dommage.
|
|
|
|
|
|
| |