Plus particulièrement « L’oiseau aux ailes d’or » avec toutes ces interrogations sur l’art, le poids de la tradition et la transgression de cette tradition, le talent ou plus précisément le génie.
J’ai vu un film coréen magnifique « Ivre de femmes et de peintures » (un film de Im Kwon-Taek) qui raconte l’histoire d’un artiste peintre très connu du 19° siècle, et quand j’ai eu un peu avancé dans le récits de Yi Munyol , j’ai tout de suite repensé à ce film.
Dans le dernier récit, e narrateur, un jeune étudiant, traverse la Corée pour atteindre la mer où il pense mettre fin à ces jours. Là aussi beaucoup d’interrogations et de réflexions sur l’existence.
Cette lecture m’a bien donné envie de découvrir et connaître un peu mieux la littérature de ce « Pays du matin calme »