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Les notes de lectures recherchées |
16 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : 1001 livres, 1938, angleterre, deuil, drame, grande-bretagne, le livre de poche, policier, psychologie, roman, suspense
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[Rebecca | Daphné Du Maurier] |
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Auteur |
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Message |
C-Maupin
Sexe: Inscrit le: 06 Mai 2006 Messages: 1917
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Posté: Ven 04 Juil 2008 8:01
Sujet du message: [Rebecca | Daphné Du Maurier]
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Commentaires : 3 >> |
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Un livre que j'ai lu et relu plusieurs fois, j'aime le contraste entre une première partie lente et à l'eau de rose, encore que l'atmosphère s'alourdisse progressivement et la deuxième partie pleine de suspense et de rebondissements.
J'ai également vu le film d'Hitchcock, mais je préfère le livre.
Commentaires de Gérard :
personnellement, ce contraste m'a plutôt déplu : je me suis ennuyé pendant les 200 premières pages en trouvant l'histoire banale ; les 100 dernières rattrapent toutefois largement ce roman avec un bon suspense.
(et, si je l'ai vu, je ne me souviens pas du film !).
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[Rebecca | Daphne Du Maurier] |
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Auteur |
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Message |
michmaa
Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 592
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Posté: Sam 15 Sep 2007 21:03
Sujet du message: [Rebecca | Daphne Du Maurier]
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Commentaires : 0 >> |
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Le récit à la première personne d'une jeune fille naive et d'un milieu modeste qui rencontre sur la cote d'azur un très riche veuf anglais. L'un et l'autre se plaisent et Max de Winter, ramène dans son superbe domaine de Manderley. Ne vous fiez pas à cette introduction à la harlequin et essayer d'imaginer l'arrivée de cette jeune fille dans ce domaine réputé dans toute l'aristocratie anglaise : Ce domaine c'est l'oeuvre d'une femme, Rebecca, la femme décédée de Max. Chaque pièce est l'oeuvre de Rebecca, toute la vie de manderley est réglée sur les anciennes habitudes de Rebecca, les visites de courtoisie ne parlent que des fêtes qu'organisait Rebecca et Max de Winter souvent renfermé sur lui même semble ne pas vouloir oublier sa première femme. Rebecca décédée et partout présente et victorieuse au plus grand desespoir de la toute jeune épouse.
On m'avait présenté Rebecca comme un chef d'oeuvre et surtout comme un roman d'ambiance.
Je dois avouer que j'ai été plutôt déçue :
J'ai trouvé le roman très classique et la première partie du séjour à Manderley plutôt ennuyeuse d'autant que la demoiselle a parfois des réaction assez sotte. Le retournement de situation qui vient au milieu du livre m'a sauvée de l'ennui et j'ai avalé la fin assez rapidement.
Je retiendrai du livre certaines scènes à la limite du fantastique et qui montre bien l'état d'épuisement nerveux des personnages et j'ai trouvé le personnage de la gouvernante impressionnant.
Mais globalement, mieux vaut avoir une âme romantique. Je crois que ce n'est tout simplement pas mon genre.
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[Rebecca | Daphné Du Maurier] |
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Auteur |
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Message |
Latulu
Sexe: Inscrit le: 19 Avr 2006 Messages: 315
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Posté: Mer 01 Nov 2006 22:54
Sujet du message: [Rebecca | Daphné Du Maurier]
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Commentaires : 2 >> |
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Je dois bien l'avouer, sans le bookcrossing, il ne me serait jamais venu à l'idée de lire Rebecca. Deuxième aveu, je ne suis pas fan de Alfred Hitchock et je n'ai donc jamais vu l'adaptation cinématographique de ce roman. Je n'en ai éprouvé que plus de plaisir à découvrir ce chef-d'oeuvre de la littérature flirtant entre le drame d'une famille bourgeoise de l'ouest de l'Angleterre et le suspense policier.
« La paix de Manderley. Quiétude et grâce. Quelque vie qui s'écoulât dans ses murs, quelque souci qui y rampât, quelque malaise et quelque odeur qu'on y éprouvât, quelques larmes qu'on y versât, la paix de Manderley ne pouvait pas être abolie, ni sa beauté détruite. Les fleurs mortes s'épanouiraient une autre année, les mêmes oiseaux bâtiraient leurs nids, les mêmes arbres refleuriraient. Cette vieille et calme odeur de mousse s'épandrait dans l'air, et les abeilles reviendraient et les grillons s'installeraient dans la profondeur des bois. Il y aurait toujours des lilas et des chèvrefeuilles, et les boutons du magnolia blanc s'ouvriraient lentement sous les fenêtres de la salle à manger. Rien n'atteindrait jamais Manderley. Il reposerait toujours dans sa coupe comme une chose enchantée, gardé par les bois, préservé, tandis que la mer se briserait, séloignerait et reviendrait sur la plage de galets. »
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