Ce petit recueil de nouvelles m'avait attiré par ses références à Jorge Luis Borges (c'est un prétexte d'érudit...), et puis parce que c'était un tout petit livre. Lu en 1/2 heure je n'en vois pas trop l'intérêt : de petits textes au ton... Quel ton d'ailleurs ? Le sourire ? La malice parfois ? Mais aussi la tristesse. Je me demande quel est l'objectif de l'auteur, qu'est-ce qu'il veut nous dire. Le narrateur adopte tantôt le point de vue de lecteurs (on comprend que c'est sa propre expérience... du nombrilisme quoi), tantôt le point de vue des objets dont il est question : les livres. Abandonnés, feuilletés, grignotés par les souris.
En conclusion : le point positif est que c'est un petit livre. C'est comme un bonbon quoi. J'imagine que de gros lecteurs apprécieraient.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]