De Paasilinna, j’avais lu « le lièvre de Vatanen », que j’avais bien aimé, mais qui m’avait un peu dérangée ; trop loufoque, peut-être ?
On ne peut pas dire que « prisonniers du paradis » ne le soit pas, mais je l’ai bien plus apprécié.
Là encore, c’est du grand n’importe quoi : tout un avion qui se retrouve sur une île déserte et, bien sûr, ces gens sont médecins ou bûcherons ou ingénieurs forestiers. Bien pratique, tout ça ! C’est évidemment le journaliste qui raconte le tout (là encore, ça tombe super bien).
Le fait que la narration se fasse à la première personne du singulier a probablement contribué à mon plaisir de lecture. Toutes les bizarreries qui se passent sur cette île semblent alors on ne peut plus naturelles.
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