[La voix de l'eau suivi de Le parc en haut de la montagne | Kiyoko Murata, Rose-Marie Makino-Fayolle (Traducteur)]
A mon avis, ces deux courtes histoires ne sont pas à la hauteur du thème abordé. J'aurais imaginé des personnages beaucoup plus torturés par leur sentiment de culpabilité après le drame de la perte de leur enfant.
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