Heureusement que c'était court.
Après m'être imaginé qu'il s'agissait d'une provocation théâtrale de bon aloi, c'est-à-dire vraiment dérangeante, je me suis aperçue que la violence aux animaux (comme entraînement au bouleversement des comportements humains) était stérile, ce qui aurait été, dans le cas contraire, une "bonne" idée.
Garcia écrit, sous forme constante de paragraphes courts, des aphorismes peu originaux qui progressent avec adjonctions et disparition de syntagmes (sans doute en espagnol le texte est-il plus agréable) et dont l'effet est lassant : aucun ne donne envie de le retenir.
Je suppose qu'ayant dû remanier son texte en catastrophe (les amis des animaux s'agitaient) avant le spectacle, le texte n'est pas ce qu'il aurait dû être, mais le résultat est là, pour moi.
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