Armand de Croué, la comtesse russe et sa fille Catherine sont à Paris. Louis XVIII règne, Napoléon est en exil dans l'ile d'Elbe.
Ils s'intègrent dans la belle société parisienne, vont au concert, au théâtre... Armand y retrouve fugacement Pauline, mais leur étreinte le laisse déçu. Il retourne à la comtesse, qui rompt bientôt leur relation, rongée par la culpabilité et par les reproches et les soupçons de Catherine, qui a toujours été amoureuse d'Armand.
Catherine tombe gravement malade. Armand, toujours aussi peu sur de lui et de ses sentiments, décide que Catherine est son seul amour, et envisage de l'épouser. évidemment, ça n'aura pas lieu, Catherine meurt. Sa mère, déchirée de douleur, rentre en Russie. Ce départ sonne le glas de l'identité russe d'Armand. Le voici complètement perdu.
Il est embastillé pour on ne sait quel motif, et trouve un semblant de convition politique en prison. Il décide d'être bonapartiste, youpie, après tout, ce sont les 100 jours c'est à la mode. C'est ça le gros soucis d'Armand, la farouche volonté de plaire à tout le monde, d'être à la mode, d'avoir les idées en vogue, d'être intégré et comme il faut.
A part ça, il aura quand même eut une vie vaine et ridicule, qui s'achèvera d'ailleurs de manière tout à fait absurde.
J'attendais beaucoup de cette trilogie moscovite, écrite par l'un de mes auteurs préférés, sur son pays d'origine. Mais je suis cruellement déçue !
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