Ce second tome est excellent, je l'ai même préféré au premier.
Je suis partie d'abord sur une erreur : sa ressemblance avec le roman "Belle du Seigneur" me laissait croire à un décalque plus proche par Cohen, mais les spécificités du personnage de Vronski l'éloignent trop de Solal, de même qu'Ariane n'est pas Anna, pour que je demeure dans cette idée.
Tolstoï étudie non seulement l'amour et la passion, mais l'amour parental, l'amour spirituel et mystique, les appartenances en général comme la classe sociale, la patrie, la famille, la religion... Et je le trouve notamment pour les deux premiers très à la hauteur d'une telle ambition.
Note de lecture entière sur mon blog.
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