La fin du monde est arrivée. Un cataclysme extrême qui englobe à peu près tous les fléaux imaginables. Catastrophe nucléaire, guerre mondiale, désastre écologique et climatique, ce n’est pas très crédible et je n’ai pas aimé ce passage du livre. Ensuite, Pierre Suragne (alias Pierre Pelot) nous décrit un monde où le jour ne se lève plus, où le froid permanent a presque entièrement éradiqué la faune et la flore. Les quelques survivants crèvent de faim et de froid dans des grottes et sont rongés par des mutations mortelles tandis que des groupes d’errants détruisent tout ce qui rappelle la science des anciens qui a conduit d’après eux à cette situation désastreuse. Une vision très noire du futur qui n’est certes pas nouvelle mais qui arrive quand même à devenir touchante. C’est cette partie qui sauve en quelque sorte ce petit bouquin sans prétention qui ne restera peut-être pas dans ma mémoire.
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