Max et les ferrailleurs.
Maximilien et sa cour assistent dans la cathédrale de Mexico au mariage du général Bazaine mais la demi-sœur du rebelle Benito Juàrez décide d’attenter à la vie de l’empereur. Félix Sauvage, convié aussi aux noces en raison des services rendus, a vent du complot mais il est intercepté en plein élan. La Youle, agente secrète dépêchée depuis Paris, intervient in extremis. La diablesse régicide devient une monnaie d’échange. Elle pourrait permettre la libération des otages de Juàrez.
Si Félix Meynet réussit à mener la mise en image des aventures de Félix Sauvage sous le soleil plombé du Mexique, Yann Le Pennetier peine à développer une intrigue captivante. Comme dans un théâtre de boulevard aux décors en carton-pâte, les clichés s’emperlent, les cavalcades s’emballent, les comptes se règlent et malgré tout le beau monde rebondi aux balcons des donzelles, le lecteur, dans un bâillement, avalerait ces clinquantes « ténèbres qui puent ».
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