[La femme en vert | Arnaldur Indridason, Eric Boury (Traducteur)]
Reykjavik s'étend de plus en plus au fil des années. Des ossements humains sont découverts par des enfants dans les fondations d'une maison en construction. Il n'y a pas d'indices, on sait seulement que le squelette se trouve là depuis une cinquantaine d'années. Erlendur et son équipe enquêtent alors sur les habitants des environs à l'époque de la seconde Guerre mondiale. Il y avait une base militaire britannique, puis américaine. Il y avait des familles. Il y a eu des violences, une disparition...
Parallèlement, Erlendur passe beaucoup de temps à l'hôpital, au chevet de sa fille dans le coma. Face à la détresse de sa fille, il se plonge dans ses souvenirs... souvenirs d'enfance, souvenirs de sa relation avec son ex-femme...
Le suspense n'est pas insoutenable, mais cela n'enlève pas l'intérêt de l'intrigue, qui se déploie dans plusieurs directions. L'analyse psychologique des personnages, à la fois prenante et touchante, est ce qui fait la force de ce roman.
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