J'ai été profondément touché par ton roman, Joseph. Grâce a ce livre, à ton "alphabet" si précis, si pudique et pourtant si près des corps et des cœurs, tu as redonné vie et honneur à Fernand Iveton, ce frère que nos mémoires avaient lâchement oublié. Et j'ai une pensée pour cet autre frère de cœur, Jean Le Meur, jeune appelé envoyé en Algérie qui a fait de la prison pour insoumission. Jean Le Meur était professeur de français dans une petite ville de Bretagne. Je l'imagine, heureux, lisant ton livre. Et ça me fait du bien.

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