[Tex. 582, La preda umana | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
La proie humaine
Toujours sur la piste de Jerry Norton, Tex Willer et Frank Forrest parcourent les paysages sauvages et enneigés des Rocheuses. Alors que Tex est persuadé de l’innocence de son ami Jerry, Frank a d’autres visées en tête. Tex sait que la tête de Jerry est mise à prix et les chasseurs de prime ont commencé la traque. Lester Rowen, père tyrannique et manipulateur, violent et sans scrupule, cherche à protéger son fils incontrôlable, Rick, fiancé frustré et jeune homme irascible, aussi dément que son père est retors. Lester a enrôlé Plummer et toute une bande pour faire le ménage lorsqu’ils auront déniché Jerry, Tex et Frank. Dans ce jeu de dupes, la seule certitude tient à l’amitié indéfectible entre le ranger et le shérif métis.
Fin du chef-d’œuvre débuté dans le n° 581, « La proie humaine » ne faillit pas dans son intensité. Le dessin des Cestaro est bluffant à chaque case. Les impacts des balles clouent de stupeur les perdants. Les cadrages en gros plans sur les visages et la maestria graphique jouant des aplats noirs et des hachures apportent une expression d’une rare puissance. La folie, la peur et la mort rôdent en maîtresses despotiques. L’amitié et le courage n’en prennent que plus de relief.
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