Comment échapper à la brutalité de son univers quotidien, quand on est le mécano d'une machine infernale qui tous les jours broie des tonnes de déchets rejetés par la société et parmi eux des centaines de livres mis au pilon ? En lisant à haute voix dans le RER quelques feuillets de ces livres qui ont échappé à l'inexorable destruction à laquelle ils étaient promis. Et en recherchant l'amour bien-sûr ! C'est un très joli livre empreint d'une poésie digne de Boris Vian ou, plus près de nous, d'une Anna Gavalda (tiens au fait ça fait quelque temps que je n'ai rien vu d'elle chez mon libraire ?).
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