[La Fête impériale : Mémoire d'un libertin | Arnauld Pontier]
quatrième de couverture
Une initiation au libertinage sous Napoléon III
Le Limousin au milieu du XIXe siècle. Fils unique d'une famille bourgeoise, le jeune Arthur coule des jours ennuyeux entre une mère aimante et faible et un père dur et pingre. Celui-ci jugeant que son rejeton doit être dressé au «fouet pédagogique», l'envoie dans une pension limougeaude. Le froid, la faim, la brutalité des maîtres et la méchanceté des camarades finissent par convaincre le jeune garçon que le bonheur n'est pas dans le savoir, mais dans le pouvoir. Plus rusé que frondeur, il apprend à composer avec le formalisme ambiant. Au cours d'un dîner familial où l'on a convié notables et aristocrates, il rencontre la très belle Mme de Villebreuse. Il la revoit à Paris où il est venu étudier au lycée Bonaparte. Devenue sa maîtresse, elle va l'initier au libertinage
Quand je lis un roman il faut pour qu'il me plaise, me sentir bien dans l'histoire, être intéressée par la vie des personnages qui y défilent, découvrir ou en apprendre davantage sur un lieu ou une époque et, enfin, apprécier la façon d'écrire de l'auteur.
J'ai trouvé tout cela en lisant "La fête impériale".
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