J'ai beaucoup aimé "La bâtarde d'Istanbul", tout comme j'avais aimé "Lait noir", un autre roman de l'auteur. J'aime la fantaisie dans l'écriture d'Elif Shafak, sa féminité assumée, son ton à la fois léger et mystique, et sa façon de raconter Istanbul. Et puis ses personnages attachants.
Dans ce roman-ci, elle traite du génocide arménien de 1915 et de la perception qu'en ont Turcs et Arméniens d'aujourd'hui, et elle le fait avec beaucoup de pudeur et de neutralité.
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