« Swann » a écrit:
J'ai eu le malheur de le libérer sans l'avoir lu et je le regrette.
Effectivement, amie Swann, pour le peu que je te connais, je pense que tu aimerais (le conditionnel passé me semble quand même trop pessimiste...) ce roman. Je l'ai lu dans le texte il y a 24 ans : je n'en ai plus que le souvenir d'une tragique amertume d'un père pour son fils, se greffant sur la tragédie nationale, ainsi que de quelques paysages ocre. Mais je pense que cela suffit à justifier ma supposition...