J'avais détesté le film, à la réalisation laborieuse et l'humour poussif. Je réalise à présent qu'il était fidèle au livre.
Ce n'est pas nullissime. Il y a de bons moments, c'est assez drôle dans l'ensemble mais Adams pousse le burlesque et le grotesque à un tel paroxysme qu'il perd en route le lecteur qui n'est pas prêt à ce genre d'écriture.
Parce que le lecteur comprend bien vite, qu'au-dela du délire potache et des bons mots, il n'y a rien sinon le vide intersidéral.
Et pour ma part, quand j'ai eu saisi l'étendue de cette vacuité, le livre a perdu pour moi le peu d'intérêt que je lui trouvais et il m'est tombé des mais, aux alentours de la page 180.
Le sage est celui qui connait ses limites.
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