Pourquoi j’ai eu envie de lire ce livre ?
Parce que j’avais beaucoup aimé celui de Roy Lewis « Pourquoi j’ai mangé mon père »

Nous sommes à un tournant de l’histoire de l’humanité « Le néolithique », au proche orient.
A travers le récit de Cando nous racontant le passage de la vie nomade, faite de chasse, pêche et cueillette, à celle sédentaire de cultivateur, pasteur, artisan, on se rend compte que changer les traditions ne va pas sans mal.
Entre Golluk sage vieillard, mémoire du peuple mais traditionaliste intransigeant, Memet, le politique assoiffé de pouvoir et Ménil, le père de Cando, curieux et inventif qui se réjouit de cette « modernité » en marche, Cando devra trouver sa propre voie.

Ça m’a plu, mais pas autant que le roman de Roy Lewis, Arkakoum !

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