Une idée intéressante reliée aux dérèglements climatiques dont on parle beaucoup en ce moment. Dans les années 60, je ne pense pas qu'on en était là et c'est d'autant plus remarquable de la part de l'auteur. L'écriture est elle aussi sympathique, quasiment poétique car il recherche l'exotisme avec un vocabulaire botanique imaginaire et imagé.
Mais ça s'arrête là, je ne lui trouve pas plus d'intérêt : on comprend rapidement où il veut en venir et ça devient lassant. L'humanité, mauvaise par essence, meurt lentement dans une décrépitude pitoyable... Le vague optimisme de fin d'ouvrage est complètement artificiel, comme si l'auteur s'excusait d'en avoir fait trop depuis le début.
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