[La place du Diamant | Mercè Rodoreda, Bernard Lesfargues (Traducteur), Pierre Verdaguer (Traducteur)]
Au début , je me suis ennuyée: les détails de la vie domestique , le comportement soumis de l'héroïne ne me semblaient pas intéressant .
Puis on se sent touchés par le courage , l'énergie de Natàlia . C'est une vision "de l'intérieur" de la vie à Barcelone du peuple sous la guerre civile et le joug de Franco ; le pauvre ne cherche pas à comprendre , il est tellement occupé par sa survie . C'est un livre touchant de simplicité, de courage , de logique: la mère conduit son fils dans un centre
"j'ai montré un coeur de pierre ...Antoni s'est jeté sur moi comme un serpent désespéré ...il voulait rester à la maison...je me suis retournée...il avait les yeux secs et on aurait dit un vieillard."
On a l'impression qu'elle n'a pas le luxe d'avoir des sentiments :il faut faire comme ça , c'est tout .
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