J'avais lu ce livre il y a six ans, et la lecture récente du "village de l'allemand" m'a donné envie de le relire.
La question essentielle de ces livres : Comment vivre quand on découvre que son père est un nazi convaincu ?
Dans le village de l'allemand, alors que Carlos Bauverd se réfugie dans l'humanitaire. Il explicite son choix en disant qu'il n'a pas voulu céder à la tentation du militantisme de gauche de crainte de tomber dans l'extrémisme et la violence.
Il y a de nombreux points communs entre ces deux livres, ce qui à mes yeux augmente la force de conviction qui s'en dégage.
Et tous deux se terminent quasiment sur un pèlerinage du héros à Auschwitz.

Commentaires de Gérard :
oui, mais je suis moins convaincu par ce dernier livre qui contient beaucoup de digressions plus ou moins hors sujet et est écrit dans un style exagérément grandiloquent.

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