Oran se retrouve la proie d'une épidémie de peste. Le nombre de morts est en constante augmentation et les mesures sanitaires se font toujours plus sévères, les murs se ferment, des camps pour pestiférés s'instituent...
Une lecture décevante où je crois, sans l'affirmer, que Camus a voulu plaquer l'apologue du cauchemar dont l'Europe et le monde sortaient au moment de la parution du roman : les correspondances qu'on peut voir entre la peste et le nazisme me paraissent trop "plaquées", je n'ai pas cru à une inspiration spontanée. Mais je me trompe sans doute.
Quelques bons moments : l'amitié entre les personnages principaux.
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