J'ai beaucoup moins aimé cette pièce que L'Innommable, probablement à cause de la présence d'objets (scéniques?): ombrelle, brosse à dents, revolver, sac, miroir qui ont entravé mon imaginaire...
L'immobilité (corps enterré) semble être une constante entre les deux oeuvres, la recherche d'une expression minimaliste mise à part. La théâtralité n'était pas moindre dans le roman.
Le point intéressant: comment la réduction de la possibilité de mouvement du personnage par profondeur croissante de l'enfouissement (buste-membres supérieurs dans le premier acte, yeux dans le second) détermine le rétrécissement de la capacité d'expression...
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