Un roman policier qui sait tenir le lecteur en haleine, sur fond de sécurité nationale (pour les États-Unis), d'algorithmes de cryptage de données inviolables ou pas, et de trahison... Susan Fletcher est aux prises avec un algorithme de cryptage qui semble tenir tête même aux super-ordinateurs de la NSA, et pour en venir à bout, l'agence doit retrouver la clé du code, qui semble avoir disparu après la mort mystérieuse du concepteur de l'algorithme...
Un livre qui tient en haleine donc, mais qui à part ça m'a semblé un peu léger sur le point de la véracité informatique, sur laquelle tout le livre repose cependant. Certaines énigmes sur lesquels les experts mondiaux en cryptographie se cassent les dents dans ce livre m'ont également semblées très faciles, du coup ça sonnait faux et ça m'a empêchée de me plonger complètement dedans à plusieurs reprises.

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Si la véracité informatique de ce livre est au même niveau que sa véracité géographique concernant Séville, alors il n'y a rien de vrai, ou de vraissemblable....

J'ai lu ce livre il y a quelques années et j'avais été très très très agacée...
Séville n'est pas du tout près de la mer, les jeunes ne peuvent pas aller faire la bringue sur la plage juste pour la soirée du samedi...
L'aéroport n'est d'ailleurs pas du tout près d'aucune plage, mais bien au milieu des terres.
La Giralda est une tour construite de telle sorte qu'on puisse monter tout en haut à cheval... difficile de descendre les marches de cette tour de 3 en 3! (chaque marche est un côté de cette tour carrée!)
Il y a un certain nombre de commentaires insultants pour les espagnols...
Enfin, bref.... Il parait que l'auteur a vécu à Séville.... pour y étudier l'histoire de l'art! Il n'a pas dû mettre souvent les pieds dans l'amphi... ou alors les excès alcooliques et autres toxiques ont brouillé sa mémoire...

Merci pour ce complément d'information, il semble alors qu'il n'y ait pas grand chose à garder de ce livre (j'ai passé un bon moment ceci dit même si je n'en garderai pas un grand souvenir).

Il semble que Dan Brown soit coutumier de la distorsion géographique, il me semble me souvenir que dans le Da Vinci code il avait aussi déformé Paris pour le plier aux besoins de la narration...