De 1972 à 2002, la voix d'une trentaine de personnages, dont les histoires finissent par se recouper.
Le style de Jean-Philippe Blondel est vraiment particulier. La construction même du roman aussi, d’ailleurs : on rencontre une flopée de personnages différents, en 1972 ; 1982, 1992 et 2002. On découvre au fur et à mesure ce qui les lie, et le livre fait comme une boucle, puisque les premier et dernier chapitres nous présentent la voix d’un même personnage. Il s’agit là d’un roman pour le moins original, dont j’ai apprécié la valeur. Cela dit, je l’ai refermé avec une petite frustration, venue de je ne sais où… ? La brièveté de l’ouvrage, peut-être ?
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