[Chroniques de l'oiseau à ressort | Haruki Murakami, Corinne Atlan (Traducteur), Karine Chesneau (Traducteur)]
Un livre long de près de 800 pages, un voyage onirique au fond du puits de sa propre âme, de sa propre vie.
Un homme a construit, a travaillé, a composé un cadre exact de son existence. Un jour, il s'arrête, il décide d’arrêter un travail qu’il n'aime pas. Ensuite, il perd le chat. Après, il reçoit des coups de téléphone et sa femme disparaît.
Des évènements, apparemment sans connexion entre eux, trouvent un fil rouge qui mène le protagoniste de cette histoire à comprendre des choses et à connaître une multitude de personnages très particuliers, chacun avec quelque chose à lui apprendre, d’aucuns faisant resurgir de son subconscient des affects refoulés.
Le « Monsieur Oiseau-à-ressort » devra se laisser glisser dans le puits de ses propres inadéquations, de la faiblesse que chacun de nous cultive dans la vie et passer au travers des choses et des personnes qui l’amèneront à comprendre quelque chose dans cette grande intrigue que sont les évènements du moment.
Ce gros bouquin se lit avec plaisir, par moments sans comprendre vraiment où Murakami veut en venir mais avec l'anxiété d'arriver au fond des choses. Ce livre nous enseigne qu’il faut toujours partir des petites choses sans importance, pour arriver au coeur de la question.
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