[La métamorphose suivi de Dans la colonie pénitentiaire | Franz Kafka]

Kafka...
Un de mes premiers amours littéraires.
Evidemment, l'adolescence est une période propice pour aborder de tels auteurs, car ils savent traduire toutes nos angoisses, qu'adolescents nous n'avons pas encore appris à cacher derrière un beau vernis de façade morne.
La métamorphose a accompagné mon adolescence, et que de fois ne me suis-je senti comme ce cafard : gênant, imposant, puant, indésirable, mais pourtant présent et grandissant (et mourant, aussi...)?
Quant à la colonie pénitentiaire, je ne l'ai découvert que dernièrement, et j'ai (forcément) aimé la critique sociale que Kafka nous apporte.
Tout ce qui manque à mon goût dans ses œuvres gigantesques, c'est un peu d'espérance. De grâce, ne confondez pas l'espérance avec l'optimisme... Ce serait mal me connaître ;-)

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