Oran est touchée par la peste. Avec son style limpide et un vocabulaire d'une immense précision, Camus plante une atmosphère et des tableaux qui interpellent les sens en permanence. J'ai plongé au coeur de cette allégorie aux relents nauséabonds de peste brune, et n'en suis ressortie qu'avec un seul regret: la sous-représentation des personnages féminins. Tant pis Albert, j'adore quand même ta plume.
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