Un des derniers témoignages de Primo Lévi sur son expérience des camps. Au niveau historique, et pour la compréhension de la vie à l'intérieur des camps, on n'apprend pas grand chose par rapport à "Si c'est un homme" ou "La trêve". L'écriture est d'une clareté qui est propre à son auteur. Il choisit le mode des petits textes en forme de coups de projecteurs. Pourtant l'ensemble a l'air moins cohérent, équilibré que dans "Si c'est un homme".
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