[Le train était à l'heure suivi de Quatorze nouvelles | Heinrich Böll]
Un recueil de nouvelles, dont la première est très longue (plus de 100 pages) et donne son titre au recueil.
J'ai lu ce livre il y a dix-sept ans, et je me souviens encore de cette nouvelle (pas des autres).
C'est un texte émouvant, où l'angoisse monte inexorablement au fur et à mesure que le héros prend conscience du peu de temps qui lui reste à vivre. Comme dans toute bonne nouvelle, la fin est surprenante.
Je rapprocherais aussi ce texte des tragédies grecques, par le côté inévitable du destin.
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