[La maison du scorpion | Nancy Farmer, Valérie Dayre (Traducteur)]
L'histoire d'une vie, celle d'un clone, mais pas n'importe lequel, celui d'un magnat de la drogue, dans un pays ou le temps semble s'être arrêté.
Quatrième de couverture :
"El Patron a cent cinquante ans et il est l'homme le plus puissant du monde. il règne sans partage, depuis son luxueux palais décoré de son emblème, le scorpion, sur Opium, ce nouveau pays crée au XXIe siècle, entre le Mexique et les Etats-Unis, entièrement dédié à la culture du pavotet à l'enrichissement des trafiquants de drogue.
Quand il mourra, il emportera dans sa tombe ses richesses mais aussi ses serviteurs, sa maisonnée, comme les pharaons et les anciens rois chaldéens.
Mais, pour l'heure, El Patron n'a pas l'intention de mourir. Il veut vivre neuf vies, comme les chats et les démons.
C'est à cela que servent les clones, des réservoirs d'organes jeunes et sains, des presque humains que l'on décérèbre à la naissance.
El Patron est si orgueilleux qu'il a exigé que Mattéo, son clone, fasse exception à la règle et grandisse avec son cerveau.
Le problème, c'est que quand on a une cerveau, on s'en sert."
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