Un conte médiéval très court, merveilleusement anachronique dans ce XIXe siècle, plein de poésie et de merveilleux, en contraste total avec le réalisme et la dureté de "la terre" qui le précède dans la série.
La découverte de l'amour d'Angélique et Félicien, dans la nuit où il se détache à peine des ombres des arbres, m'a rappelé celle de Miette et Silvère par reflets interposés.
Enfin, je ne me lasse pas de la description du travail des brodeurs.
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