Pastiches et postiches m'a fait le même effet : éblouissement de la virtuosité et de l'intelligence de l'auteur, agacement devant l'intellectualisme. Mais pour être honnête, ça ne me gêne que quand ça me dépasse...
De plus, quand Eco pastiche des oeuvres qui sont des classiques en Italie, dont je ne connais pas le premier mot, forcément des choses échappent également.
Mais c'est tout de même à lire, je pense.