Il m'a fallu passer la première moitié du roman pour dépasser un grand sentiment de déception (le tour intimiste donné à cette réécriture du mythe me paraissait complètement à côté de ce qu'il fallait) et de me dire que Madeline Miller avait réussi à concilier les figures imposées du mythe et sa lecture personnelle pour le moins inattendue.
Cf.
note de lecture sur mon blog.
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