[Tex Color. T. 13, Piombo e oro | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
Plomb et or.
Dans le sud désertique de l’Arizona, une poignée de soldats arrive au trading post avec quatre mille dollars destinés à la réserve indienne des Pimas. Milton Channing, l’agent de la réserve indienne, les attend. L’escorte est anéantie et Channing fait main-basse sur le magot fédéral. Tex Willer et ses pards décident de se rendre au trading post afin de vérifier que les transferts de fonds ont bien eu lieu mais le vol des charognards au loin ne les incite pas à l’optimisme. Un sergent à l’agonie a le temps de leur donner le nom de l’assassin, Milton Channing, épaulé par un redoutable tireur d’élite nommé Krauser. Supputant les rangers à ses trousses, Channing ne veut prendre aucun risque dans sa fuite en effaçant toutes traces de son passage. Passés le Rio Grande, Channing et Krauser atteignent l’hacienda luxueuse de Cesar Malvado, sinistre bandit parvenu exploitant sans vergogne une mine d’or, réduisant les mineurs à l’état d’esclaves.
Pasquale Ruju déroule son histoire de vols et de manigances avec un art consommé de scénariste aguerri. Channing et Malvado ont des plans d’enrichissement qui ne supportent aucun travers. Les rangers découvrent la machination à mesure de leur progression en terres mexicaines. Sandro Scascitelli n’est pas totalement convaincant au crayon. Ses personnages semblent souvent empesés et leurs expressions esquissées n’ont pas toujours l’allant adéquat. Néanmoins, l’histoire se lie d’une traite avec plaisir mais comment peut-il en être autrement avec une telle série ?
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