Dès l’ouverture du livre, j’ai pris une claque. Et en le refermant, c’est moi qui ai du faire la claque pour saluer l’artiste. Salut à toi ô mon frère est un de ces livres qui va à 100 à l’heure sans qu’on ait besoin qu’il nous mène où que ce soit, un de ces bouquins où il ne se passe rien et qui te tient pourtant accroché de la première à la dernière phrase.
Chronique du livre à lire in extenso
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