[Tex. 597, Il ponte di roccia | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galeppinni]
L’arche de pierre.
Afin de s’emparer du stock d’armes, une trentaine de guerriers Utes menés par Rubidio vont tenter d’attaquer l’avant-poste militaire fortifié de Blufold défendu par une poignée de soldats rejoints par Tex Willer et Tiger Jack.
Les guerriers Navajos sous l’égide de Nakatee viennent se battre contre les Utes de Chien Jaune mais ces derniers vont se dissimuler dans les chaos rocheux de Falcon Bridge, attendant en embuscade le passage des Navajos.
Suite et fin d’« Oltre il fiume », « Il ponte di roccia » constitue l’épicentre de la furia indienne. Sans temps mort, le récit chevauche les grands espaces désertiques, écumant, d’escarmouches en tirs groupés, jusqu’à la mise à nu des hommes quand les subterfuges s’évanouissent et qu’ils doivent affronter leurs ennemis coûte que coûte. Le graphisme de Jose Ortiz est reconnaissable avec des aplats structurants que les hachures peaufinent, un cerne vigoureux et dynamique capable d’insuffler du mouvement au moindre décor ainsi qu’une vitalité explosive aux trognes grimaçantes, exsudant rage de vivre et peur emmêlées.
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