Livre court, que l'on peut lire le temps d'un apéro sur une terrasse au soleil.
Entre essai et fiction, l'ouvrage est un condensé de cynisme et de mauvaise humeur.
L'auteur tire sur tout ce qui bouge, ou plutôt sur tout ce qui ne bouge pas, l'été étant selon lui la saison de la mollesse, et ça ne lui plaît pas du tout, à Claude-Henri.
C'est bien vu, ça fait parfois sourire, et quelques jeux de langue sont délectables (la première page fait mouche).
Je trouve juste étrange que le vert soit associé à l'été. Pour moi, le vert, c'est le printemps.
Dans la même idée, j'avais lu "De la pluie" de Martin Page, que j'avais adoré:
ma note de lecture
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